Pris au piège

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il y a 5 ans

Une histoire érotique de pucelage qui s’envole dans les douches

J'avais 18 ans à l'époque. J'étais toujours puceau et les seules expériences sexuelles que j'avais eues jusqu'ici consistaient à la branlette en solo ou encore, quelques branlettes mutuelles poussées par la curiosité de l'a d o l e s c e n c e avec un cousin. Néanmoins, la masturbation me permettait de lâcher mon fou.

J'étais excité par un rien... La vue d'une épaule de fille vêtue en camisole, le bruit du vent dans les arbres, l'odeur de la tarte aux pommes ou encore la simple idée de me retrouver seul quelque part. Mon érection se faisait alors rapide comme l'éclair et bien qu'arborant fièrement ma queue dressée dans le privé de ma chambre ou à la salle de bain, en public, il en était tout autre chose. Il ne fallait pas que ça se voit, sinon imaginez la honte!

Alors que nous avions tous cours libre par une belle matinée, je profitais doucement des premiers rayons chauds du soleil du printemps. Avant de sortir, j'avais enfilé mon short et ma camisole d'entraînement (je pratique la course) et je me dirigeais vers la piste. Quelques autres étudiants s'entraînaient déjà. Rapidement, je me mettais au boulot et commençai mon réchauffement par une série d'étirements.

J'étais assis par terre, les jambes bien écartées, et je m'étirais le dos en m'agrippant à mes pieds. Martin, un des gars qui s'entraînait, s'arrêta de courrir pour se diriger vers moi. À quelques pas de moi, il s'assied par terre et me regarde en souriant, et surtout, en lançant de longs regards sur mon paquet mis bien en évidence par la posture que j'avais en ce moment. Martin est ouvertement gay et je sais qu'il flashe sur moi. Bien que je ne sois pas attiré par les garçons, le fait qu'il me fixe ainsi sans s'en cacher, aux yeux de tous, m'a donné une méchante barre qui déforma mon short. Il s'en aperçut et me sourit franchement. J'étais rouge de honte; impossible de me lever avec une telle érection!

Martin s'approcha de moi et me montra l'effet que je lui faisais. J'étais encore plus gêné!

— Salut Martin. C'est pas le moment là... Mais tu peux être sûr que quand je vais me décider à essayer avec un gars, tu seras le premier à le savoir car ce sera toi qui prendra ma viriginité!

Son sourire s'illumina et il me ficha la paix. Je ne sais trop pourquoi j'avais dit ça à brûle-pour-point, peut-être un fond de vérité, mais le résultat voulu fut obtenu, je fus laissé seul à mon entraînement. Du moins, c'est ce que je pensais...

Je terminai mon entraînement, ce qui me fit enfin perdre mon érection et je me suis rapidement dirigé vers les vestiaires. Me rendant directement à mon casier, j'eus tôt fait de retirer mes vêtements détrempés et de prendre ma serviette pour ensuite me diriger vers les douches. Aussitôt dans l'enclos, je choisis la pomme de douche la plus près de moi et j'ouvris les robinets pour sentir de suite le jet chaud sur ma peau. Je me rinçai complètement et commençai à me savonner tout doucement, tout particulièrement au niveau de ma verge qui s'allongea à toute vitesse, fière que je m'occupe enfin d'elle. Je prenais tout mon temps pour me masturber avec une lenteur extrême, j'aimais particulièrement jouir sous les jets brûlants d'une douche. Trop occupé à me satisfaire, je n'entendis pas les pas dans la pièce d'à côté.

— Bonjour Marc! entendis-je, ce qui me fit sortir de mes rêves éveillés.

L'épais brouillard causé par l'eau très chaude de ma douche m'empêchait de voir mais il me semblait bien avoir reconnu une voix féminine. J'étais figé sur place, le sexe toujours bien en main. Avais-je imaginé tout ça? C'était mon genre de me prendre à mon propre jeu...

— On s'amuse bien à ce que je vois... fit la voix.

Là j'étais convaincu, mon esprit ne me jouait pas de tour. Il y avait bien une fille dans la pièce. Nah... Serait-ce Martin qui m'a suivi ici pour me foutre la trouille en changeant sa voix? Non plus... sa voix est trop grave et rauque pour pouvoir parler de cette petite voix. Le temps de me retourner pour fermer le robinet qu'on m'agrippait par l'arrière en me projetant sur le côté, ce qui eut pour effet de me faire perdre l'équilibre. Je protégeai ma chute avec mon bras pour ne pas me blesser en tombant franc sur le carrelage. J'étais sur le dos et soudainement, on me sauta dessus et enfin je vis que c'était Sylvie, une fille de mon cours de biologie. Elle s'était assise sur mes cuisses, m'empêchant de bouger. Encore sous l'effet du choc, je ne m'apercevais même pas sur le champ qu'elle n'était vêtue que de sa petite culotte. J'eus tôt fait de remarquer ses deux petits seins pointus devant mes yeux alors qu'elle se penchait sur moi en me prenant aux poignets. Je sentis alors l'érection qui m'avait abandonné dans ma chute me reprendre de plus belle

— Oh mais c'est qu'il aime ça en plus... ricana-t-elle.

— Sylvie, tu es folle, nous allons nous faire prendre!

— Tu crois? fit-elle avec un petit sourire moqueur. Il y a bien six semaines que j'observe ton manège et je sais que tu viens à la douche au moins 30 minutes avant les autres...

— Un pur hasard, répondis-je, sachant très bien qu'elle avait raison.

Elle reprit alors la parole tout en faisant valser son bassin contre mes cuisses, me troublant encore plus d'excitation:

— Je me suis alors dit qu'il y avait 2 possibilités: tu es très gêné d'être nu devant les autres gars sous la douche - ce que je trouve bien excitant -, ou bien encore tu es pédé et tu ne veux être surpris à bander devant les autres gars à poil - ce que je trouvai bien excitant aussi. Mais défénitivement, avec ce qui f o r c e son chemin en-dessous de moi présentement me laisserait plutôt croire que ma première hypothèse est la bonne. Mais maintenant, avec ce que je viens de voir, je comprends pourquoi tu venais ici avant tout le monde.

Et elle ricana un bon coup en s'allongeant contre moi. Je sentais ses pointes de seins tout durs contre mon torse. Son corps recouvrait entièrement le mien. Quand elle bougeait, nos peaux se frottaient l'une contre l'autre, m'envoyant des centaines de watts d'un bout à l'autre de l'échine, sans oublier le compteur qui pulsait de plus en plus vite sous l'excitation; au point où j'avais une peur bleue de jouir de la sorte. Mon rythme respiratoire était déchaîné, mon coeur se débattait dans ma cage thoracique.

Comment a-t-elle fait son compte, je ne sais trop, mais l'instant d'après, elle me fourrait sa petite culotte dans la bouche et s'embrochait sur ma queue raide. Elle se positionna à califourchon sur moi alors qu'elle commençait à me chevaucher avec vigueur. Je sentis mon visage s'empourprer en sentant les picottements annonciateurs de ma jouissance à la base de mon sexe. Sylvie dut le remarquer car aussitôt, elle plongea ses ongles acérés comme les griffes d'un félin sur mes mamelons. La douleur fulgurante me fit oublier mon exictation instantanément et ce n'est que lorsque quelques larmes de douleur coulèrent de mes yeux que Sylvie lâcha prise.

Elle me sourit, se pencha pour déposer un petit baiser sur ma joue avant de recommencer à se déhancher sur mon sexe qui n'avait en rien perdu de sa rigidité. Elle se tortillait dans tous les sens, je sentais les muscles de son ventre se contracter autour de ma queue dans un tourbillon d'émoi que je n'avais jamais imaginé aussi intense. Alors que je sentais à nouveau la jouissance monter en moi, mon regard se fit supplicateur alors que Sylvie me fixait droit dans les yeux. Elle comprit le message, ralentit la cadence en venant se lover contre mon torse, et d'une infinie tendresse, elle termina son manège avec une série de contractions internes qui me firent exploser en elle quelques instants plus tard. Une chance que j'avais sa culotte dans la bouche sinon j'aurais hurlé comme jamais.

Sylvie se releva alors que j'étais encore sous le choc de mon dépucelage. Je la regardais se rhabiller pendant que je me relevais sans hâte. C'est à ce moment là que j'aperçus Martin dans le cadre de porte qui donna un petit bec sur la joue de Sylvie.

— Merci beaucoup Sylvie d'avoir accepté. C'était extra! lui dit-elle alors qu'elle quittait le vestiaire.

J'étais là, gêné, me cachant maintenant le sexe et les couilles avec la main, en vain car ma queue n'avait pas encore fini de reprendre sa taille normale. Martin s'approcha de moi, mit son bras autour de mon épaule et me dit tout fièrement:

— Beau spectacle que tu m'as fait là... Mais avec le cadeau que je viens de te faire, tu me dois beaucoup plus que ça, tu crois pas?

Il se mit à rire aux éclats et me quitta, me laissant seul au milieu de la pièce, avec un sentiment mêlé entre la honte extrême de m'être fait avoir par Martin et l'immense bonheur d'avoir enfin dégorgé le poireau!

Ercher

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